© 2015, Josse Goffin, Regard à gauche

De l’ivresse spirituelle au refuge « toutophone ». Huit siècles de littérature néerlandophone à Bruxelles

Frank Hellemans

Texte

Des nomades perpétuels en quête de nourriture spirituelle - et terrestre: tel est le trait d’union entre les artistes et écrivains qui étaient autrefois à l’oeuvre à Bruxelles et ceux qui le sont encore aujourd’hui. Quiconque fait défiler devant soi le cortège sans fin des écrivains néerlandais et flamands du Moyen Âge à nos jours, n’est guère éloigné d’avoir part à cette énergie électrisante qu’ils ont recherchée à Bruxelles et à laquelle, dans leur œuvre littéraire, ils ont tenté de se réchauffer.
Certains, comme le grand Multatuli (1820-1887), se sont consumés à cette flamme, mais la plupart, après une brève cure littéraire de vitamines, ont repris la route. Quelques-uns, comme Geert van Istendael (° 1947), y sont restés, fidèles au poste.
Ces pointes énergétiques bruxelloises se sont souvent cristallisées dans des lieux de distraction, comme les tavernes, les cafés ou les lieux publics tout court, où l’on s’amusait, buvait et refaisait le monde. Les écrivains recherchaient ces endroits afin - au propre comme au figuré - de s’imbiber de cette exubérance bruxelloise, qui, bien souvent sur place, entre les murs du salon ou de l’ermitage, se convertissait en langage littéraire.

Ermites et rhétoriqueurs

Au XIVe siècle déjà, un prêtre catholique du nom de Jan Van Ruusbroec (1293-1381) concoctait en moyen néerlandais, le parler populaire de l’époque, des litanies allégoriques où il célébrait l’extase de «l’ivresse spirituelle».

Ruusbroec, qui partage une syllabe de son nom (broec, c’est-à-dire «marais») avec Broeczele - comme s’appelait originellement Bruxelles - était dans un premier temps chapelain de l’église Sainte-Gudule, à deux pas de l’actuelle gare centrale. Cependant, lorsque des conflits s’envenimèrent avec ses supérieurs et des religieux dissidents, il choisit de quitter la ville haute pour la verte périphérie bruxelloise, autrement dit la forêt de Soignes et les coteaux vallonnés du Pajottenland, sur lesquels le peintre du XVIe siècle Pieter Brueghel nous a offert de ravissantes échappées. XX
Ruusbroec se réfugia dans un ermitage de la forêt de Soignes, plus précisément à Groenendael, où, depuis le haut Moyen Âge, nombre de communautés similaires s’adonnaient à travers le silence mystique et la réclusion à une quête de sens religieuse et artistique. Des peintres, tel le célèbre primitif flamand Hugo Van Der Goes, trouvèrent asile dans les nombreux couvents en lisière de la forêt, et il n’est donc jusqu’à Ruusbroec qui ne s’y soit délecté de l’enivrante parole de Dieu dans d’exceptionnelles visions littéraires, lesquelles seront traduites en latin après sa mort.

L’exil de Ruusbroec vers le silence sacré de la forêt était destiné à faire école, puisque d’autres auteurs néerlandophones se livrèrent à semblables mouvements de fuite, choisissant, au sortir d’une brève escale dans les débridements de la vie citadine bruxelloise, de se replier vers l’écriture érémitique, dans les banlieues enchanteresses de Bruxelles.
Après Ruusbroec, les rhétoriqueurs, aux XVe et XVIe siècles, placèrent la scène littéraire néerlandophone que constituait Bruxelles sous un climat davantage empreint de bourgeoisie: en marge de leurs fêtes et de leurs cortèges, ils pratiquaient volontiers la «littérature de circonstance».
Les plus anciennes chambres de rhétorique néerlandophones, celles de Bruges et de Bruxelles, auraient du reste trouvé leur origine dans les puys, ces joutes littéraires organisées à l’occasion des représentations en l’honneur de la Vierge, et auxquelles prenaient part également les hommes de la noblesse.

Ces puys, qui remontent au XIIe siècle au nord de la France, ont surtout fait florès dans la région de Flandre française autour de Lille, Arras et Valenciennes. Par ailleurs, la littérature médiévale de langue néerlandaise à Bruxelles ne s’est pas uniquement révélée l’affaire de prêtres tels que Russbroec ou de bourgeois comme le rhétoriqueur bruxellois Jan Smeken (1450-1517), mais également de coryphées de haute extraction, par exemple les ducs de Bourgogne Philippe le Bon et Philippe le Beau, qui prirent part aux joutes littéraires de la chambre de rhétorique Den Boeck au XVe siècle.

C’est dans ce contexte de convivialité entre seigneurs de haut rang que les lettres néerlandaises devaient continuer à «mitonner» à Bruxelles, jusqu’au XVIIIe siècle, et, lorsque les révolutions politiques frappèrent l’Europe occidentale tout entière, Bruxelles devint au siècle suivant le port franc continental par excellence. De Karl Marx à Victor Hugo, de Charles Baudelaire à Paul Verlaine et Arthur Rimbaud: au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, Bruxelles constitua la «planque» idéale pour plus d’un révolutionnaire politique ou artistico-littéraire. XX


Cafés et tavernes

L’écrivain néerlandais Eduard Douwes Dekker (1820-1887), qui dans un geste romantique s’estampilla du pseudonyme Multatuli - ce qui signifie en latin «j’ai beaucoup souffert» -, posa ses bagages à Bruxelles en 1859, fuyant ses créanciers? XX
Dekker-Multatuli, qui s’était donné une mission messianique, rédigea en deux mois, dans une auberge bruxelloise sise à l’ombre de la cathédrale Sainte-Gudule chère à Ruusbroec, son magistral réquisitoire contre les injustices que subissaient les Javanais aux Indes néerlandaises. Il espérait non seulement que la publication de Max Havelaar XX supplanterait la traduction néerlandaise de son modèle américain, La Case de l’oncle Tom de Harriet Beecher Stowe, mais escomptait aussi en tirer argent pour apurer ses dettes de jeux.

Outre qu’il s’y plongea dans l’écriture de son chef-d’œuvre, Multatuli tenta de trouver du travail à Bruxelles en tant que journaliste. En dépit d’évidentes prédispositions, il ne fut pas long à être licencié par le quotidien libéral bruxellois L’Indépendance belge, en raison de son traitement pour le moins fantaisiste des événements de l’actualité.

En tout état de cause, Max Havelaar résonna comme un coup de tonnerre dans le ciel dégagé du firmament littéraire néerlandais et continue aujourd’hui encore à être célébré comme le roman néerlandais le plus brillant de tous les temps.

Ayant recours à une technique de montage évoquant notre postmodernisme, l’auteur n’hésite pas à faire alterner des poésies allemandes de Heinrich Heine avec des comptes rendus d’un négociant en café et les accusations ronflantes d’un fonctionnaire local - qui n’est autre que Douwes Dekker en personne - contre les abus que font subir aux autochtones des Indes néerlandaises les autorités coloniales de la métropole. Multatuli nous offre, avec la déploration du jeune Javanais Saïdjah sur la mort par trop précoce de sa jeune amoureuse Adinda, un récit d’une pureté poétique sans mélange.
De mauvaises langues vont jusqu’à prétendre qu’Adinda la Javanaise lui aurait été inspirée par une certaine Estelle, une chanteuse aux mœurs dissolues dont il avait fait la connaissance non loin de son pied-à-terre, dans un beuglant des galeries Saint-Hubert. Ce lamento lyrique nous donne une idée de l’intensité de ce roman intemporel, qui demeure, aujourd’hui encore, le meilleur et le plus connu des produits d’exportation littéraire des Pays-Bas et de la Flandre.

Dans l’entre-deux-guerres, les écrivains-journalistes néerlandais continuèrent à fréquenter les cafés bruxellois afin, en dialogue ou non avec leurs confrères flamands, de mener de nouveaux projets littéraires communs. La brasserie Taverne du Passage, que l’on trouve toujours au coin de la galerie de la Reine - donc tout près de la cathédrale Sainte-Gudule et du logement de Multatuli, rue d’Arenberg -, était typiquement le rendez-vous littéraire d’auteurs néerlandophones tels que Jan Greshoff, Eddy du Perron, Menno Ter Braak, Jan van Nijlen, Maurice Roelants et Gerard Walschap. Du Perron y entraîna également l’auteur français André Malraux, à l’époque où ce dernier rendait visite à Du Perron, lequel était occupé à traduire en néerlandais La Condition humaine (1933).

C’est ainsi que pour un temps les cafés bruxellois retrouvèrent l’allure des cabarets du XVIIIe, ce Siècle des lumières où les intellectuels de premier plan et de tous horizons s’y donnaient rendez-vous et, par le moyen de pamphlets, d’articles de journaux ou de magazines, façonnaient l’opinion publique. XX


Un «babel linguistique» surréaliste

Après la Deuxième Guerre mondiale, cette fonction intellectuello-journalistique eut tendance à se diluer et des écrivains néerlandais et flamands, mus par des désirs de fuite de natures très diverses, cherchèrent souvent un port d’attache dans la capitale belge. Des écrivains, en tout cas originaires des Pays-Bas, se jetèrent dans les bras de la métropole anonyme afin d’échapper à cette atmosphère provinciale de club autogéré qui caractérise la ceinture des canaux d’Amsterdam. Jeroen Brouwers (° 1940) XX  en est un exemple très représentatif: dans les années 1960, il chercha (et trouva) asile à Bruxelles, où il inaugura sa carrière d’écrivain après y avoir travaillé plusieurs années pour les éditions Manteau.
Brouwers tomba sous le charme de ce «Babel linguistique» bruxellois, c'est ainsi qu’il désigna le fourre-tout de langues qu’il y trouva.

L’écrivaine et illustratrice néerlandaise Joke van Leeuwen (° 1952) fut à son tour tellement séduite par cet embrouillamini linguistique bruxellois que cela la poussa à écrire, pour donner libre cours aux nombreuses possibilités que renferme semblable brassage linguistique. Alors qu’elle était encore une adolescente venue des Pays-Bas, elle suivit sa scolarité dans la région bruxelloise au tournant des années 1960-1970, son père, théologien, y occupant un poste d’enseignant.
Elle fut non seulement confrontée au néerlandais que l’on parlait dans son école secondaire flamande - et qu’elle ne comprenait pas toujours - mais, tout en faisant les courses, elle observa également que les commerçants bruxellois francophones ne maîtrisaient pas souvent le néerlandais.
Ces derniers ne la comprenaient pas, ou à peine, ce qui donna lieu à toutes sortes de pirouettes linguistiques, qui seront plus tard une des marques de son œuvre :
« Ils disaient: wiwi wiwiwi / et couvrirent tout leur comptoir / de bien des choses dont je ne voulais pas ». Ce sont précisément ces cocasseries langagières qui représentent la meilleure part de l’œuvre de Joke van Leeuwen. Un bel exemple en est Waarom een buitenboordmotor eenzaam is (La Solitude du hors-bord, 2004) XX une histoire du néerlandais racontée avec un humour contagieux et illustrée par ses soins, « pour les enfants et autres personnes ».


De plus en plus, Bruxelles en vint à être esthétisée par les écrivains, qui en firent un lieu de consolation littéraire pour auteurs nomades en quête de répit et d’inspiration. Brouwers ne fut pas le seul à penser de la sorte: Willem Frederik Hermans (1921-1995) XX partageait cette opinion, lui qui - désabusé par la tentative de cambriolage qu’il avait subie à son domicile parisien - coula les dernières années de sa vie à Bruxelles. Entre 1991 et 1995, Hermans, selon ses propres dires, aimait à flâner dans cette Bruxelles surréaliste où les plus belles maisons art nouveau côtoient des excavations béantes et où toutes sortes de panneaux publicitaires émoustillent à chaque instant la fantaisie du promeneur.
Hermans, du reste, était accro à ce genre d’émoustillements où se mêlaient allègrement associations et antagonismes - il faisait volontiers étalage de ses préférences culinaires bruxelloises: des frites accompagnées de champagne - et de jeunes écrivains néerlandais comme Joost de Vries (° 1983) trouvent à sa suite l’environnement urbain hétérogène de Bruxelles rien moins que fascinant.

Le journaliste et écrivain flamand Geert van Istendael (° 1947) XX connaisseur par excellence de la Bruxelles littéraire, bat en brèche cette « Brussellophilie » dans son Arm Brussel (Pauvre Bruxelles, 1992), un classique qu’il a revu et actualisé depuis.
Dans un billet d’humeur qu’il a signé récemment, il résume fort plaisamment cette fascination pour Bruxelles en la qualifiant, eu égard à sa langue bâtarde hyperdiversifiée si typique, de « toutophone » :
«Bruxelles est un grand lit crado où toutes sortes de langues passent leur temps à faire l’amour à toutes sortes de langues».
Dans la plus pure tradition «hermansienne», il glorifie ce singulier mélange des contraires qu’à Bruxelles on rencontre à chaque coin de rue.

Benno Barnard (° 1954) XX son ami écrivain néerlandais, partageait ce point de vue, mais préféra la verte périphérie de Rhode-Sainte-Agathe pour pouvoir y disséquer à distance ce drôle de melting pot à la belge. Contrairement à Geert van Istendael, qui depuis plus de trente ans entretient un rapport amour-haine avec sa Bruxelles, Benno Barnard jeta l’éponge après une dizaine d’années, en particulier lorsqu’il eut à faire face, au sens propre de l’expression, à Sharia4Belgium, un groupe terroriste islamiste venu l’empêcher de donner une conférence sur Dieu et Allah.
Le nomade néerlandais reprit son courage à deux mains et se fit la malle en direction d’un petit village près de Douvres, dans l’East Sussex.

David Van Reybrouck (° 1971), West-Flandrien non natif de Bruxelles, a pour sa part préféré garder son pied-à-terre dans la périphérie de Bruxelles, une manière de chez-soi réservé à l’écrivain et dont il se sert comme d’une base arrière, tandis que partout ailleurs dans le monde les lieux où il travaille ne sont qu’éphémères.
Van Reybrouck ne jure, tout comme Van Istendael, que par Bruxelles la cosmopolite, avec son patchwork de cultures et de perspectives, ce qui fait de lui un observateur anthropologique dans l’âme.
Après le succès planétaire de Congo (2010) XX sa prodigieuse histoire de l’ancienne colonie belge, le voici en train d’accoucher d’une histoire similaire, celle des Indes néerlandaises de Multatuli, l’ancienne colonie, cette fois, des Pays-Bas.

Geert van Istendael n’a pas attendu aujourd’hui pour lancer une mise en garde: la superdiversité bruxelloise, avec son brouhaha de langues et son cocktail de cultures, atteint petit à petit ses limites. L’ironie de l’histoire veut que le port franc qu’était autrefois Bruxelles soit manifestement devenu la planque idéale pour des terroristes islamistes qui, dans ce chaos surréaliste, trouvent plus facilement leur chemin que la police.

Et pourtant ce cocktail n’est pas encore sur le point d’exploser. Dans De bolhoed van mijn vader (Le Chapeau melon de mon père, 2015), le journaliste de la presse écrite et très passionné Gaston Durnez (° 1928) décrit non sans une certaine mélancolie la rencontre fortuite qu’il fit avec la classe du déjà très âgé Paul Otlet, alors que lui-même n’était à l’époque - pendant la Deuxième Guerre mondiale - qu’un jeune homme en culottes courtes de seize ans. Otlet, précurseur d’Internet et créateur d’un système de classification universelle de tous les documents publiés dans le monde, parcourait alors, jouant les guides anonymes, son propre musée mondial, ou Mundaneum, lequel ne devait connaître une véritable renaissance à Mons, dans un centre d’archives du même nom, que grâce au parrainage de Google.
Gaston Durnez, qui passa son adolescence à Asse, dans les campagnes du Pajottenland, rencontra donc à Bruxelles, longtemps avant que l’on parlât d’Internet, le précurseur du numérique sur le trottoir d’un musée poussiéreux : vous disiez « contrastes »?


Le plus beau «brol» de tous les temps

Le cocktail, en effet, n’est pas tout à fait sur le point d’exploser, car de jeunes auteurs néerlandophones continuent à être charmés et stimulés par les nombreux visages de Bruxelles. Nous avons déjà cité Joost de Vries. Ce dernier a eu l’occasion, par l’entremise de la maison internationale des littératures Passa Porta, d’y recharger ses batteries comme écrivain en résidence tout en sillonnant dans tous les sens la métropole avec un étonnement sans cesse accru.

Depuis lors, l’écrivaine flamande Lize Spit (° 1988) en a également été l’hôte. Cette jeune et extrêmement talentueuse voix de la littérature flamande a surpris tout le monde avec Het smelt (La Fonte, 2016) XX un premier roman pétillant d’esprit. Jamais on n’avait vu chez si jeune auteure tant de naturel et de souplesse dans l’approche des sentiments extrêmes. Enfant de la campagne campinoise, elle succomba au charme de Bruxelles, après y avoir terminé ses études de cinéma dans une école supérieure de la capitale : le plus beau «brol» qui soit, pour reprendre ses propres termes. Voici désormais une dizaine d’années qu’elle vit près de la gare du Midi, un des quartiers les plus multiculturels de Bruxelles.
Ce n’est certes pas demain qu’on la retrouvera dans un ermitage de la verte périphérie bruxelloise, tant est grande sa soif d’expériences sans cesse renouvelées et de sensations toujours plus fortes, ce que la vie quotidienne bruxelloise lui offre sans qu’il faille faire d’effort pour les trouver. Mais que, grâce à Bruxelles, elle puisse mentalement se délecter de quelque chose comme les vapeurs de l’ivresse, ne comptez pas sur elle pour le démentir.


© Frank Hellemans, 2017
Critique littéraire, professeur d’histoire de la communication à la Hogeschool Thomas More, Malines

Traduit du néerlandais par Christian Marcipont


Notes

  1. Voir Septentrion, XLIV, n° 4, 2015, p. 57-63
  2. Voir Septentrion, XXXI, n° 1, 2002, p. 4-17
  3. Saskia de Bodt, Frank Hellemans, Taverne du Passage. Peintres et écrivains néerlandais en Belgique, Ons Erfdeel vzw, Rekkem, 2006, p. 19
  4. Voir Septentrion, XXXIX, n° 4, 2010, p. 30-33
  5. Daniel Acke, Elisabeth Bekers. Brussel schrijven. De stad als inspiratiebron sinds de 19e eeuw. Écrire Bruxelles. La ville comme source d’inspiration depuis le 19e siècle, VUB PRESS (édition bilingue), Bruxelles, 2016, p. 229
  6. Voir Septentrion, XLI, n° 1, 2012, p. 9-17
  7. Une publication de l’institution culturelle flamando-néerlandaise, éditrice de Septentrion. Une version remise à jour a paru en 2015
  8. Voir Septentrion, XXXIX, n° 2, 2010, p. 80-81
  9. Voir Septentrion, XL, n° 1, 2011, p. 5-13
  10. Voir Septentrion, XXXIV, n° 4, 2005, p. 80-81
  11. Voir Septentrion, XLII, n° 1, 2013, p. 80-81
  12. Voir dans le présent n° de Septentrion

Metadata

Auteurs
Frank Hellemans
Sujet
Textes et auteurs néerlandophones célébrant Bruxelles avec ivresse
Genre
Chronique littéraire
Langue
Français (traduit du néerlandais par Christian Marcipont)
Relation
Revue Septentrion n° 1 - 2017
Droits
© Franck Hellemans, 2017